Exorde
Qui ?
J'oscille entre théorie et fiction. J'échoue et tente de constituer une poétique de l'échec. Toute mon esthétique n'est qu'une esthétique des langues bâtardes, des identités incertaines, des masses anonymes qui errent entre les réalités. Du Weltschmerz à la Sehnsucht des mondes possibles, l'écriture y devient le choix de l'errance.
Quoi ?
Des miscellannées se regroupent en cet endroit du cyberespace pour tenter de partager un sentiment qui navigue sous la peau de nos réalités. L'écriture tente de recouvrer une sensation du ciel au-delà des satellites qui le polluent.
Pourquoi ?
J'écris pour m'adresser aux autodafés à venir. Tout n'est sans doute que conjuration des cycles historiques qui semblent nous ramener inévitablement à une même idée de l'effondrement.
Comment ?
Ces notes éparses se constituent au fil de la pensée, elles ne cherchent pas une quelconque perfection, mais affectionnent leur forme brute. Cet espace d'écriture est un carnet à ciel ouvert.
Il est possible d'y naviguer au travers de quelques mots-clefs :
- #critique : le miroir miroite le miroir, et l'art cherche sa mise en abyme ;
- #fragment : pour entendre une fiction où le sujet se dilue dans le temps qui se fragmente ;
- #image : le verbe cherche à cristalliser l'instant, il quête en lui-même l'image de son objet ;
- #théorème : où la pensée joue de la sentence pour déconstruire ses propensions sentencieuses, et le monde avec.
Où ?
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