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La Fondation NOVA GALLIA

En septembre 2022, j’ai eu l’idée d’une fondation pour poser les bases de la Nouvelle France. Je publie ici dans le texte que j’avais publié sur mon ancien site internet. A l’époque, la proposition avait suscité assez d’intérêt, au point que j’ai été contacté par l’équipe d’un célèbre mécène milliardaire pour envisager la création (financée) de NOVA GALLIA. Je n’ai pas donné suite pour des raisons familiales, mais ce projet reste nécessaire et je ne désespère pas qu’il voit le jour. J’ai apporté au texte ci-dessous quelques modifications et ajouts pour le rendre plus percutant, plus efficace.


Imaginez. Une partie des 11 millions de Français qui ont voté pour un candidat patriote à l’élection présidentielle de 2022 acceptent de financer une fondation, que je nommerai NOVA GALLIA, destinée à nous protéger de notre remplacement, de notre disparition et surtout à construire la Nouvelle France.

Saviez-vous que le Coran exige des musulmans une forme d’impôt, le Zakât Al Maal, équivalent à 2,5% de leur revenu annuel si celui-ci dépasse la valeur de 85 grammes d’or (environ 7.500 euros) ? C’est le troisième pilier de l’islam. Autant dire que de nombreux musulmans sont assujettis à cette forme d’aumône. A quoi sert cet argent ? La Zakât Al Maal est destinée à des bénéficiaires précis, définis dans le Coran (Sourate 9, verset 60), regroupés en huit catégories :

En pratique, son utilisation varie selon les contextes, mais en Occident, une très grande partie de cet argent est aujourd’hui récolté par des ONG islamiques comme le Secours Islamique France (SIF), Human Appeal, Karama Solidarity ou Ummah Charity.

Ces ONG utilise le Zakât pour des projets de développement communautaires bénéficiant à la communauté des croyants. Mais le plus important est que ces ONG appuient leur mission humanitaire par leur conformité aux principes de la charia. Cet argent sert en premier lieu à protéger et développer leur communauté.

En Europe, notre manque de solidarité ethnico-religieuse causera notre perte. Nous devons jouer à armes égales si nous voulons avoir voix au chapitre des siècles prochains.

IPR : l’Impôt Pour la Reconquête

En Europe, notre manque de solidarité ethnico-religieuse causera notre perte. Nous devons jouer à armes égales si nous voulons avoir voix au chapitre des siècles prochains. Alors imaginez. Imaginez un financement communautaire presque indolore qui représenterait 0,5 % du revenu mensuel net (défiscalisable à hauteur de 66% pour le donateur), soit deux à trois euros par mois pour quelqu’un qui touche le SMIC. Cet forme d’impôt volontaire et communautaire pourrait s’appeler l’impôt pour la reconquête (IPR) et pourrait être versé par les Français de France et de l’Étranger. Si 10 % de ces électeurs se mobilisaient, cela fournirait à la fondation au minimum 80 millions d’euros de budget pour sa première année de fonctionnement. A titre de comparaison, le budget de la fondation de Georges Soros, Open Society, dont l’objet clairement identifié est de détruire les fondements traditionnels des sociétés européennes en finançant notamment le wokisme, le progressisme, le communautarisme allogène et l’immigration en Europe, était de 93 millions d’euros en 2020. Imaginez donc la force de frappe d’une telle fondation ! Nous jouerions quasiment à armes égales.

Concrètement, la fondation NOVA GALLIA aurait plusieurs missions sur le court, moyen et long terme. En voici quelques exemples:

Imaginez. Cette fondation pourrait employer des salariés dans divers domaines de compétence (médias, publicité, édition, réalisation, juridique, sécurité, accompagnement de projet, santé, recherche et développement, innovation, communautarisme, économie, finances, etc.), des responsables et équipes provinciales pour agir au plus près du terrain et confierait une partie de ses fonds propre à son équipe de traders chargée de les faire fructifier sur les marchés financiers (CFD, Forex, Crypto actifs, etc.). Nous devons utiliser les mêmes armes que nos adversaires. Nous devons même faire mieux. Sans argent, nous perdrons le combat culturel et civilisationnel. Les Français, les Européens et plus largement, les Blancs (puisque nous vivons dans un monde qui nous est assez hostile où nous en sommes venus à nous identifier par notre couleur de peau, par obligation et par distinction) effectuent chaque année plusieurs dizaines milliards d’euros de dons à des associations. Pourtant, depuis une dizaine d’années, c’est surtout à l’émergence des fondations et fonds de dotations auquel on assiste. Il faut donc songer sérieusement à s’organiser de la sorte, car nos adversaires idéologiques mènent déjà cette bataille d’influence.

Ce n’est pas seulement la France qui a changé. Ce sont les Français.

Mais ne nous méprenons pas. La France que nous avons aimée et connue est morte. Notre dernier souvenir collectif d’une France heureuse date des années 1950 voire 1960. Toutes les France d’avant, celles qui appartiennent à chaque génération, ne reviendront pas. L’homme né sous l’ancien régime et mort sous Louis Philippe pouvait affirmer qu’il ne reconnaissait plus “sa” France. L’homme né en 1890 et mort en 1970 aura connu deux guerres atroces, des révolutions économique, industrielles et culturelles qui lui autorisaient la même réflexion. Les gens nés après 1970 se distinguent de leurs aïeux en ce qu’ils voient leur monde changer, à une différence près et celle-ci est notable : ce n’est pas seulement la France qui a changé. Ce sont les Français.

Nous devons donc, à notre tour, faire le deuil des France d’avant. Ces France sont morte, mais nous pouvons en faire naître d’autres sur les bases saines que nous ont léguées nos aïeux. Il n’y a pas de France sans Français. Nous devons donc nous unir, nous reconnaitre, nous entraider, nous reproduire. Ces France sont mortes, mais nous sommes les héritiers de son histoire, de sa langue, de sa culture, de ses traditions, nous sommes les gardiens de son patrimoine, de ses paysages, de son art de vivre. Ces France sont mortes, mais nous sommes héritiers de son peuple qui existe toujours, en nombre. Il ne tient qu’à nous de faire revivre la France telle une Nouvelle France (en latin : Nova Francia ou Nova Gallia) dans son berceau ethnique, géographique et historique.

Pour que vive la Nouvelle France, nous devons créer la Fondation Nova Gallia.

MAIS SANS ATTENDRE que Nova Gallia existe, vous pouvez dès aujourd’hui payer votre IPR aux associations, organismes et individus qui s’organisent déjà pour constuire la Nouvelle France. Ils sont déjà nombreux, vous en connaissez déjà. Associations culturelles, librairie identitaire, a

#Journal, par Grégory Roose