baptistesantini
Séquence 12
103.
Fin,
Le deuil décrasse l'esprit.
L'égout avant la scène.
Le miracle que serait la vie s'il était possible le prêt de sensations à autrui.
Winston
Me voici ! dis-je au chaos.
La femme au nuage et l'enfant qui pleure du sang
Avoir fait naufrage quelque part entre le silence et l'aube.
Que faire sinon s'évader de nous ?
On ne se disait rien, on se ressentait enfin.
Au plus loin que je me souvienne, au fin fond de cette horreur qu'est ma mémoire
Nos deux silhouettes sous un parapluie, enrobées dans le brouillard épaissi.
L'amour est l'exhumation d'une conscience excédée.
L'écrivain est prisonnier de l'expansion du secret de son moi au fur et à mesure
Et puis il y a ceux qui vous donnent l'impression d'avoir déjà vécu plusieurs fo
L’inextricable lien entre guerre et surréalité…
Fenêtre sur rien et lente agonie
Parmi tous les fardeaux que se trimbale l'écrivain, celui de la paranoïa est, de
L'orgueil me pousse à aimer. Donc je n'aime pas, je prouve.
La banalité, cette gangrène !
Et cette fille m'attend dans le cimetière à l'église abandonnée.
Et il y a ce rêve que quelqu'un s'amuse à me donner et à reprendre. Je le reçois