L'image met en abyme la littérature, celle qui se contente de la voix, de ses flottaisons, celle qui refuse toute permanence, lorsqu'elle ne recherche que le renouvellement de sa disparition.
(Au sujet d'une scène de La Notte d'Antonioni : Valentina supprime ses quelques paroles enregistrées dans un magnétophone, après que « l'écrivain » veut les entendre à nouveau.)